Elodie Bergerault dirige l’entreprise Danaïades : le mouvement comme moyen de communication.
Créer une entreprise: ne pas attendre les subventions pour devenir créatif.
Aller voir ailleurs d’autres schémas existants.
Beaucoup de gens sont hermétiques à la danse. Aller vers ces gens-là.
Point de départ: envie de déplacer les frontières et élan pédagogique
Dans le cadre de l’entreprise et de l’événementiel, on peut proposer des projets avec des convictions fortes dans ce contexte aussi.
Il faut répondre à des commandes. Être capable d’être créatif dans un cadre.
Comment, par le mouvement, utiliser notre langage, proposer un spectacle à un public qui n’y aurait peut-être pas accès?
Souvent, elle investit des lieux qui n’ont pas été traversés par la danse.
Comment, en tant que chorégraphe, on entre dans les entreprises? (Ici, elle se présente comme experte en mouvement)
Par exemple, un séminaire sur la posture.
Utiliser son savoir de chorégraphe et sa perception d’artiste pour faire bouger les choses, transformer les corps.
Aujourd’hui, elle se sent entre deux territoires : chorégraphe et entrepreneur. Elle aime bien être entre. Il y a de l’inattendu. Il faut parfois adapter son langage, être plus commerciale. Il est important d’inventer, de cheminer, d’être créatif dans les démarches aussi.
Danaïades: c’est un concept, c’est une entreprise mais c’est une entreprise chorégraphique.
Il y a d’autres schémas possibles.