Cet article a pour objectif de donner à lire une méthodologie de travail dans la recherche d’information à travers un exemple concret … à prendre comme un jeu de piste !
Et prendre l’initiative d’en indiquer d’autres !
L’exemple est pris sur une recherche effectuée fin janvier 2016.
– Information source : Newsletter L’échangeur – CDC Picardie
– en parcourant la lettre, regard sur « Gaëlle Bourges / Lascaux »
– Clic sur en savoir plus pour arriver sur le site du Vivat
Sur la page de présentation de Lascaux, regard dans « production » : y figure notamment le soutien de la Ménagerie de verre, dans le cadre de « studioLab » (fiche spécifique inclue prochainement dans la plateforme), puis aller vers liens : site de Gaëlle Bourges.
A la rubrique « actualités » (en janvier 2016) de ce site, une information intéressante :
Dans le cadre de la journée portes ouvertes de l’Institut National d’Histoire de l’Art, Galerie Colbert, du 30 janvier 2016, projection de la captation de la vidéo de A mon seul désir.
Pour en savoir plus cliquer sur le site l’INHA et dans actualité, on peut lire :
Cinquièmes rencontres de la Galerie Colbert – Autour de la tenture de la Dame à la Licorne. Féminité, désir, allégorie.
Et en lisant le texte de présentation :
Selon le principe de cette journée, une œuvre a été choisie pour fédérer les réflexions et nourrir les débats, un chef-d’œuvre de l’art européen qui a durablement marqué l’imaginaire des artistes et des créateurs : la tenture de la Dame à la Licorne.
Les multiples sujets que l’on peut aborder à partir de cette œuvre vont bien au-delà de l’intérêt que les concepteurs et réalisateurs portèrent à la tenture : l’allégorie des cinq sens, celle des six vertus courtoises du Roman de la Rose, le riche symbolisme de l’iconographie, la question du métier, sans oublier la représentation de la féminité. Ils concernent non seulement toute l’histoire de l’art, depuis l’iconographie antique des êtres fabuleux ou de la représentation de la féminité jusqu’à Gustave Moreau, Mapplethorpe, Rebecca Horne ou Grégoire Solotareff, mais aussi le spectacle vivant de Gaëlle Bourges ainsi que toutes les pratiques artistiques : peinture, architecture, sculpture, arts décoratifs, théâtre et opéra, musique, photographie, cinéma, vidéo, performance.
Et, on perçoit comment la danse peut être présente là où on l’attend pas forcément