Nous avons été fort bien accueillis à la péniche RA.
Du fait d’une autre rencontre en Avignon, nous avons eu peu de participants, mais de qualité
 quelques chorégraphes (membres du SCA : Micheline Lelièvre, Daisy Fel, Sosanna Marcelino, Brigitte Dumez, Jean Christophe Bleton),
 une représentante du ministère de la culture en la personne d’Odile Cougoule,
 Daniel Larrieu pour la SACD et SCA,
 Jean Marc Adolphe pour Mouvement,
 ACPACA (Philippe Madala),
 4 membres du SYNAVI (Bertrand Krill, Dominique Vissousaine, Violaine Fenestre, Muriel Guyon),
 un représentant de la CFDT (Nicolas-Guy Florenne) et un de FO (Franck Guilbert) .

Brigitte a ouvert la séance en passant la parole à Daisy Fel qui a remercié le Conseil Régional Rhône Alpes, son président Jean Jacques Queyranne, sa chargée de mission danse Anne Claire Durand (présente aussi) et la chargée de mission spectacle vivant Catherine Crémet Parella.

Puis Brigitte a fait une présentation du syndicat et de ses objectifs. Elle a présenté les différents projets : rencontre autour de Chorégraphe ce citoyen, le 1er février 2013 au Havre et elle a passé la parole à Sosana pour parler d’une rencontre à venir en Lorraine. Sosana a également évoqué ce qui se passe en Lorraine au niveau des financements publics….

Micheline a présenté le tiré à part et a invité JM Adolphe à dire quelques mots. Jean Marc a exprimé l’intérêt qu’il avait eu à élaborer ce TAP avec SCA. Il a émis quelques idées plus politiques sur les actions à mener et les attitudes à défendre dans le domaine des arts en général.

Micheline a présenté le questionnaire concernant les activités connexes ainsi que la mini synthèse qu’elle a faite à partir des premières réponses reçues.

Ensuite des échanges ont eu lieu, avec des questions à Odile Cougoule sur les engagements du Ministère, des remarques du représentant de la CFDT, (plutôt positives). Ce que nous retenons, c’est le fait que l’on nous reproche de ne pas être assez au point sur les questions techniques : nous ne connaissons pas vraiment les textes officiels qui encadrent nos droits, nos rapports à l’institution….

La question qui émerge aussi, les danseurs sont-ils aussi des auteurs ? Mais là ce n’était pas le débat. Il a été dit en résumé que : au cours de ses activités « connexes », le chorégraphe transmet son art, à travers sa propre vision de la danse (et du monde ?), quelque soit le public, écoles, universités, hôpitaux, prisons, et que là, en aucun cas il n’agit en tant que « professeur de danse ». C’est alors un passeur, un transmetteur.

Brigitte a clos le débat en remerciant tous les présents de leur participation.