Les « deuxièmes villes » ont souvent fait confiance à leurs nouvelles générations d’acteurs (culturels, entre autres), plus que dans les capitales, et ce pour une raison simple : les temps de décision plus courts et le dialogue souvent plus simple entre décideurs (politiques) et acteurs de la société civile font des villes à taille plus humaine, des villes aux décisions plus réactives, et donc, parfois, paradoxalement moins conservatrices.
Plus d’infos : www.weare-europe.eu
2e ville : www.weare-europe.eu/fr/mag/talks/62_les-deuxiemes-villes-moteur-du-nouveau-reseau-culturel-europeen-publie-dans-etapes